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Le recours à un cabinet d’expertise indépendant en bâtiment est souvent indispensable face à une pathologie (fissures de façade, infiltrations d’eau, etc.). Le milieu de l’expertise Bâtiment est vaste et complexe. 
L'expert indépendant exécute sa mission sur l’engagement de sa responsabilité professionnelle (assurance), sa neutralité, sa déontologie et son indépendance.

L'expert bâtiment indépendant est libre de toutes pressions

Tout le monde pense qu'un expert bâtiment, c’est travailler pour une compagnie d’assurance, cherchant à éviter ou minimiser l’indemnisation liée à un sinistre, pour préserver les intérêts de l’assurance.
 
L’expert bâtiment indépendant travaille principalement pour le compte d’assurés (professionnels ou particuliers), pour constater des malfaçons, recommander des solutions techniques pour réparer un désordre, etc.

Pour garantir un résultat optimal, l’expert est neutre et impartial
L’expert bâtiment est indépendant des architectes, des constructeurs et des entreprises générales de travaux et bien évidemment des compagnies d'assurance.

Quand solliciter un expert indépendant ?

On peut solliciter un expert indépendant dans plusieurs situations :
 
 - Pour fournir un avis technique sur une malfaçon ou un désordre de la construction, ou dans le cas de survenance de sinistres tels que fissuration, présence d’humidité, dégâts des eaux, incendie, tempête, affaissement de terrain, catastrophe naturelle, etc.

- pour effectuer une expertise contradictoire si vous considérez être lésé sur l'estimation de prise en charge par votre assurance.

En cas de déclaration de sinistre à votre assurance, celle-ci va missionner un expert, dit expert d'assurance
Vous avez le droit également et tout intérêt à vous faire représenter par votre propre expert, dit expert d'assuré, qui agira indépendamment de la compagnie d'assurance.

La plupart des contrats d'assurance couvrent, tout ou partie, les honoraires de l'expert indépendant que vous aurez sollicité.

Le rapport d'expertise peut être utilisé, dans certains cas, à des fins judiciaires.

Le décret n°2015-282 du 11 mars 2015 favorise le recours aux modes alternatifs de règlement des litiges en obligeant les parties à démontrer, dans l’acte introductif d’instance, qu’elles ont tenté de trouver une solution amiable à leur différend. Ce décret a modifié les articles 56 et 127 du Code de procédure civile.

Les interpré­tations subsistent quant à la sanction prévue en cas de non-respect de ces nouvelles dispositions.
 

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